…arler…
…heures…
…avoir…
Обратимся теперь ко второму письму, написанному Хитрово примерно через полгода. (Орфография подлинника сохранена без изменения.)
11 Octobre [1830]. St. P[etersbourg]
Voici un petit mot de l'ambassadrice – Alme[i]da part demain – mais depuis longtemps détroné. L'amiral Codrington et son fils ont été en grande faveur mais le dernier bateau à vapeur les a enlevé.
Nous sommes tous consternés de vos nouvelles de Moscou – l'absence de l'Empereur vous expliquera mon inaction en faveur de Mons. Glinka – j'ai déjà echoué en partie auprès du G. Duc que le prince Galitzin a très mal prevenu contre lui – Je ne me découragerai pas.
Par des nouvelles indirectes je sais il y a huit jours – qu'à cette époque – notre commun ami se portait bien – mais dans ces temps de désolation, ce n'est point une garantie et pour être un peu rassurée je le voudrais auprès de son père à Pskoff.
Mais où en est-il de son mariage?
Quand revenez vous? Pendant que nous prions pour vous donnez nous de vos nouvelles.
Quelle folie et quelle faiblesse a notre pauvre Dolgorouky de consentir au mariage d'Alexandre. C'est vouloir propager ou plutot perpetuer les mauvais ménages.
Перевод:
11 октября [1830] C-П[етербург].
Вот записочка от посланницы. Альмейда отбывает завтра, но уже давно развенчанный. Адмирал Кодрингтон с сыном были в большом фаворе и отплыли с последним пароходом.
Мы все подавлены Вашими московскими новостями. Моя бездеятельность в отношении г-на Глинки объясняется отъездом государя. Я уже потерпела частичное поражение у великого князя, которого настроил против него князь Голицын. Но надежды я не теряю.