20 Histoires de Sexe

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Z serii: Sexe et désir #3
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Une histoire de filles

Nous sortions de l’école de secrétariat et nous étions allées avec d’autres filles boire un verre dans un bar. On avait commandé des jus de fruit mais le serveur qui nous connaissait bien avait rajouté de l’alcool en cachette de son patron. Pourquoi est-ce que j’ai suivi Leslie chez elle ? Elle me l’avait demandé et j’avais accepté avec deux autres filles et, chez elles, nous avions continué à boire. Comment nous étions-nous retrouvées à poil ? Enfin, pour moi, ce n’était pas la première fois parce que, quelques années plus tôt je l’avais fait avec une fille de mon lycée. On s’était embrassée sur la bouche et j’avais trouvé ça dégoûtant et je le lui avais dit. Et ça, m’avait-elle demandé en ouvrant son corsage, c’est dégoûtant ? Elle n’avait pas de soutien-gorge. Rien que des seins adorablement sexys et je les avais caressés avant de les embrasser et d’abandonner mes seins à la fille puis nous avions fait l’amour ensemble. Je m’étais souvent demandé comment les femmes peuvent faire l’amour vu qu’elles n’ont pas de pénis et j’avais vu et ça m’avait convaincu de faire sans mais ça ne m’avait pas fait de moi une lesbienne.

Donc, dans la chambre de Leslie, nous étions nues toutes les quatre. Qui donc a promis que la première qui jouit… On s’est masturbées puis l’une de nous a dit que ce sera mieux avec un gode et Leslie en a sorti un que nous nous sommes passées de main en main jusqu’à ce que Leslie jouisse. Moi je m’étais toujours eff***er de jouir le plus rapidement et là, je venais de me faire doubler. Leslie est allée chercher une autre bouteille d’alcool et elle a rempli les verres et nous avons continué à boire et, Leslie encore, est montée à quatre pattes sur le lit en nous demandant de venir la lécher et je me suis dévouée. Je n’avais vu des petites lèvres aussi grandes que sur le vulve de ma grand-mère. Elles pendaient entre ses cuisses. Je les ai mordillées et j’ai tiré dessus avec mes dents puis une des filles est venue me lécher et j’ai trouvé que ça devenait intéressant puis un homme jeune a fait irruption dans la chambre.

- Qu’est-ce que tu fais-là, lui a hurlé Leslie ?

- Tiens, je vois que ma demi-soeur s’amuse, lui a répondu son demi-frère !

Notre chaîne s’est disloquée et nous nous sommes retrouvés face à face.

- Hé, a ajouté le demi-frère ! Venez ! J’ai découvert un trésor !

Deux autres types sont apparus à la porte de la chambre et ils ont tous entrés.

- Allez ! Sortez, les a suppliés Leslie ! Il n’y a rien pour vous ici !

- Il n’y a que des gouines, lui a répondu son demi-frère ?

- C’est parce qu’elles n’ont pas eu l’occasion de rencontrer de vrais hommes, a fait l’un des amis de son frère !

Leslie lui a répondu qu’ils ne sont pas capables de se déshabiller mais ils l’ont prise au mot et ils ont retiré tous leurs vêtements et il était impossible de ne pas voir qu’ils avaient envie de nous.

- On va faire un contrat, a ajouté le demi-frère de Leslie en prenant une feuille de papier et un crayon sur le bureau : règle numéro 1, interdiction de faire mal; règle numéro 2, on s’engage à tout accepter sans f***er son partenaire; règle numéro trois; est-ce que ces dames risquent d’être enceintes aujourd’hui ! Il a ajouté que ceux qui ne signeront pas peuvent sortir après avoir juré de ne jamais rien dire.

Il a fait circuler la feuille et quand elle est arrivée à moi, tous avaient signé et j’étais bien obligée de faire comme les autres et j’ai signé. Le demi-frère de Leslie a récupéré la feuille pour la plier et la mettre tout en haut de l’armoire puis il a ajouté qu’ils vont montrer aux dames qu’ils sont pleins de bonne volonté et ils se sont enculés tous les trois et celui qui était à la fin de la chenille a commencé à branler celui qui était en tête puis ils se sont séparés et ils se sont approchés de nous. J’ai sucé la bite du garçon qui était le plus près de moi et pendant que je suçais, je me suis fait prendre. Pas tout de suite parce que le type était trop excité et qu’il n’y arrivait pas et j’ai guidé sa bite dans mon vagin. Je pouvais voir que les autres baisaient comme des lapins même s’il manquait un mâle. Je suis passé dans les bras des uns et des autres et des unes et des autres.

- Je peux, m’a demandé le petit-frère de Leslie ?

Je lui ai répondu que j’ai signé et il s’est enfoncé dans mon anus et il a voulu à tout pris savoir si j’aime ça puis j’ai compris qu’il se faisait enculer par ses amis lui aussi. Au bout d’une heure d’abstinence et de chassé-croisé, le sperme a commencé à couler. Une fille s’était assise sur mon visage et elle m’arrachait les seins tant elle tirait dessus.

- La prochaine fois, il faudra que tu amènes quelqu’un d’autre, a dit Leslie à son demi-frère !

- Parce qu’il y aura une autre fois, lui a-t-il demandé ?

- Pourquoi pas, lui a-t-elle répondu ! Ça faisait longtemps que tu avais envie de me baiser ?

Il lui a répondu qu’il n’avait jamais osé lui proposer. J’avais du sperme sur le menton, sur les seins et sur les cuisses.

- Ça t’a plu, ai-je demandé à un des garçons ?

J’avais raclé du sperme sur le bout de mon index et je lui ai mis dans la bouche. Il m’a demandé s’il peut me revoir mais j’ai refusé d’être séparée des autres. Nous avons recommencé nos après-midi une douzaine de fois. Un quatrième garçon a été invité à la fête mais il est aussi arrivé qu’ils soient six, de quoi nous satisfaire et, devinez-quoi, il y a quelques temps, j’ai revu Didier, celui qui m’avait proposé de faire cavalier seul avec moi. J’ai eu un peu de mal à le reconnaître parce qu’il avait perdu ses cheveux. Il m’a demandé si je continue et je savais bien de quoi il parlait et je lui ai dit que nous avons cessé parce que Leslie a eu un enfant d’on ne sait qui des invités et, les uns après les autres, nous avons levé le pied.

- Tu m’as toujours plu, a-t-il ajouté ! Je voudrais bien me marier ! Qu’est-ce que tu en penses ?

Je n’en pensais rien. Je venais de fêter sainte Catherine. Mes parents s’inquiétaient de mon avenir.

- On peut toujours sortir ensemble pour commencer, a insisté Didier ?

J’ai commencé à sortir avec lui et puis un jour, je suis allé à l’hôtel avec lui et quand je lui ai sucé la bite, je lui ai demandé ce que c’est que ce tatouage sur son pénis. Il m’a répondu que c’est mon prénom et, effectivement, quand il a été en érection… Je lui ai dit que je ne me ferai jamais tatouer mais je n’ai pas tenu parole car si vous soulevez mon sein gauche, vous verrez le prénom de mon mari. Nous avons fait l’amour et je me suis rendu compte que Didier était plus performant que pendant nos partouzes. Je n’ai rien à lui reprocher parce que ce jour-là, il m’a prise de main de maître puis il m’a emmenée voir ses parents et je suis restée bouche bée quand Didier m’a demandé si ça me plaira.

- Vous êtes riches, je lui ai fait !

Didier rm’a répondu que je n’ai qu’un mot à dire et ce mot, je n’allais pas tarder à le dire devant le maire mais en attendant, il fallait que je présente mon fiancé à mes parents. Peu avant notre mariage, je lui ai suggéré de faire une soirée comme nous aimions tant les faire et il n’a pas hésité et nous avons pu rencontrer tous nos anciens partenaires ou presque et aussi Leslie qui était encore enceinte et ce soir-là, c’est moi qui invitais. Alors qu’il se faisait sodomiser et que je me faisais enculer par un autre, j’ai dit à Didier que c’est la dernière fois qu’on s’amuse et il m’a répondu qu’il ne veut que mon bonheur. Sur les cinq heures du matin, la petite fête s’est terminée.

Leslie m’a remerciée puis elle a ajouté qu’elle va sans doute aller directement à la clinique pour accoucher. Je suis rentrée chez moi. A la porte de mon immeuble, il y avait un type assis sur les marches et que j’avais déjà vu.

- Une passe, m’a-t-il demandé ?

Je l’ai regardé et j’ai éclaté de rire et je lui ai dit que je me marie samedi.

- Pourquoi pas, m’a fait le type ?

Je lui ai dit de me suivre. On s’est déshabillés et il m’a regardé attentivement puis il m’a dit que j’aime me faire enculer et c’est ce qu’il a fait. Après, je lui ai offert le petit-déjeuner et il a disparu. L’après-midi, je suis allée chercher ma robe de mariée. Il n’y avait que la vendeuse dans la boutique. Quand elle a suggéré de faire un dernier essayage, je ne me suis pas méfiée car, une fois nue dans la cabine la fille est entrée et elle m’a dit qu’elle est amoureuse de moi puis elle m’a embrassée sur la bouche et j’ai fait l’amour avec elle.

Après le mariage, j’ai emménagé avec mon mari dans la propriété de ses parents mais j’avais du mal à m’y faire si bien qu’il n’a pas refusé quand j’ai proposé qu’on reprenne nos soirées et maintenant, deux fois par mois, on s’amuse à nouveau avec Leslie, son demi-frère et tous ceux qui ont participé à nos régates et mon gros ventre, je le dois à mon mari et pas à un autre.

Un moment avec Margot

Il y a de cela quelques années traversant une période de célibat, il m'arrivait de fréquenter un quartier bien connu de Paris ou des dames vendent du plaisir.

En ce début d'après-midi d'une belle journée printanière, j'était venu dans ce quartier avec la ferme intention d'en repartir soulagé après presque une semaine d'abstinence. Je parcourais d'abord la rue Blondel ou j'avais déjà eu l'occasion à plusieurs reprises de monter avec des Dames qui m'avaient laissé un agréable souvenir et avec qui pour certaines j'avais renouvelé l'expérience..... Ce jour là beaucoup de visages connus mais aucune de ces quelques perles rares ..... Avant que je n'apperçoive Louise, une très grande black au corps sculptural avec un fessier de folie qui malheuresement pour moi rentrait dans son immeuble suivi d'un client. J'ai ensuite pris la rue St Denis vers les Halles puis demi-tour arrivé rue Reaumur, je remontais la rue trottoir de gauche . Arrivé pas très loin de la rue Blondel , j'apperçu Margot discutant avec une de ses collègues juste en face de l'entrée de l'immeuble dans lequel se trouvait son studio.

 

Margot était souvent vêtue de blanc, ce jour là elle portait une coute jupe blanche, une veste de même couleur avec un col et les poignets en fourrure, bas et bottes pour les jambes. C'est une femme d'environ 45 ans très brune au teint mat, pas magrébine, plutôt méditéranéene et assez souriante. je l'abordais poliment, je ne sais pas si elle me reconnu, la négociation fût très basique, ce n'est pas quelque chose que j'aime faire dans la rue.

Je la suivait dans l'immeuble puis dans les escaliers où sa jupette me laissait voir sa culotte de même couleur que le reste. derrière nous sa collègue accompagnée d'un client nous suivait . Pendant la montée des deux ou trois étages les deux femmes continuaient leur discution comme si nous n'étions pas là .

Un studio, relativement grand et lumineux pour le quartier, un grand lit à gauche, des miroirs un peu partout, deux ou trois chaises, dans un coin un lavabo et un bidet, une commode sur laquelle était disposés quelques sextoys mais pas d'instrument SM comme des cravaches ou des menottes ..... négociations plus détaillées cette fois, je paie et l'on commence à se dévetir. Elle n'avait gardé que ses bas et m'a demandé si je souhaitais qu'elle mette ses bottes, offre que j'ai déclinée. Environ 1m60 un corps mince le ventre plat, Margot a des petits seins pas très fermes pour leur volume des auréoles très sombres et les tétons qui pointent, un joli petit cul. La toison publienne est généreuse mais taillée court . Nu moi aussi je commence à bander .

Comme prévu on commence par un cunni dont je suis particulièrement friand et dont assez peu de dames du quartier acceptent la pratique. Margot s'allonge au milieu du lit cuisses ouvertes, je m'installe la tête entre. Son sexe est de ceux qui laissent dépasser les petites lèvres charnues. Je passé plusieurs minutes à lecher sa fente du haut en bas en aspirant les lèvres et le capuchon. Elle ne simule pas reste passive et peu expressive, je le savais cela ne me surprends pas et ne me derange pas non plus.... Je descends à plusieurs reprises jusqu'à l'entrée vaginale sans chercher à y pointer la langue pas plus qu'un doigt chose qu'elle refuse de même que la zone anale est interdite de toute approche . Au bout d'un moment elle repouse gentillement mon visage et annonce que nous allons passer à la suite. elle se lève prend un preservatif sur la commode, le sort de son étui. je suis allongé, agenouillée sur le lit elle prends dans une main ma bite déjà bien raide puis décalotte le gland au maximum, avec l'autre elle dispose la capotte et la déroule sur toute la longeur du sexe. Commence une fellation assez mécanique, il faut bien le reconnaitre.... elle suce surtout le bout en branlant le tout avec sa main droite, on est très loin d'une bouffeuse de bite. de toutes façons dans mon état la pipe est plus une formalité qu'une nécessité, je rappelle qu'il y plusieurs jours que je n'ai pas éjaculé.

Elle s'installe ensuite sur moi, elle n'ajoute pas de gel et j'apprécie, certaines prostituées en mettent vraiment beaucoup trop .....La chevauchée est bien rythmée et profonde. C'est une de ses qualities, Margot se laisse pénétrer profondément sans jamais se soustraire au coup de butoirs qui la premplissent. Dans cette position c'est elle qui gére mais elle fait en sorte que presque tout le membre coulisse dans son vagin, je lui pince doucement les tétons elle ne proteste pas bien que je sois sûr qu'elle préfèrerait que je m'abstienne. Ma cavalière reste toujours muette ou presque, à peine quelque très légers gémissements. Moi j'apprécie et je commence à ne plus pouvoir rester silencieux . après avoir astiquer un bon moment dans cette position elle se lève et se retourne. Accroupie cette fois ses fesses vont et viennent sur ma queue tendue. La vue de son petit cul et de sa chatte dilatée par ma bite est vraiment très excitante, trop, je dois l'arrêter si je veux profiter de la suite du programme. Il n'y a pas d'extra-balle rue Saint Denis ..... Elle est maintenant allongée sur le dos cuisses ouvertes et relevées sur la poitrine. Je la pilonne copieusement ou j'alterne avec des passages moins rapides pour faire retomber un peu la pression, je souflle de plus en plus fort . Petite pose pour terminer en levrette.

Elle se positionne à quatre pattes bien cambrée tête dans l'oreiller, je suppose pour ne pas croiser son regard dans le miroir face au lit . Derrière elle je dirige mon sexe vers le sien, un coup de rein et je coulisse presqu'entièrement dans son vagin accueillant, Margot n'est pas très étroite. Je l'attape par les hanches et je commence les va et vient....Ca claque, mes cuisses contre les siennes , mon bas-ventre contre son cul, mes testicules participent également. Dans cette position les femmes peu fessues offrent une vue imprenable sur leur petite rosette. J'ai les yeux rivés dessus juste au dessus de ma bite qui penêtre agréablement ma pertenaire sexuelle du moment. Curieusement, malgré sa forte pilosité pubienne, aucun poil disgracieux ne pousse dans cette zone, pas plus que dans la raie culière. Je doit maintenant faire des efforts pour me retenir je sais que l'explosion finale approche quand soudain une voix femminine demande :

_ Margot t'es là ? Les murs sont minces on pourrait croire que cette personne est dans la pièce.

Pas de réponse ...... De nouveau....

_ Margot t'es là ?

_Oui je suis là finit elle par répondre d'une petite voix. Etait ce la femme de l'escalier ou une autre prostituée, je ne le saurais jamais ....

Je n'en peu plus mon excitation a franchit un nouveau pallier, j'éjacule bruyammant en fond de vagin, plus que quelques mouvement du bassin, c'est fini....Notre voisine à forcément tout entendu....Je me dégage la capote alourdie d'une grosse dose de semence, Margot se lève et se dirige vers le bidet. Je retire le préservatif qui va rejoindre dans une poubelle une belle collection de capote usagée et de papier de toutes sortes....depuis quand n'a elle va été vidée, Margot partage-elle sa pièce, je ne sais pas. Je passe rapidement ma bite encore raide sous le robinet pendant que Margot se rafraichit l'entre-cuisses .

Je me rhabille, Margot aussi, au revoir bisou....Je sors pluôt satisfait ce qui n'est pas toujours le cas....Je n'ai pas chronomettré, mais à mon avis ce moment n'aura pas duré plus de 25 minutes. Rien n'est inventé, juste le prénom de la dame est changé .

Confession d'une femme libertine

22h15: Nous arrivons, ma femme et moi, gare de Lyon pour voir le dernier TGV pour Marseille démarrer sous nos yeux. Quelle déveine, nous allons devoir emprunter un train Corail qui va voyager toute la nuit pour nous amener à Marseille au petit matin.

Passablement contrariés par ce contre temps, nous nous installons à la buvette pour patienter jusqu'au départ de ce Corail prévu à 23h30.

Nous venions de passer la journée chez nos amis Serge et Christine, rencontrés quelques mois auparavant et qui nous avaient fait découvrir le monde des amours anticonformistes, en un mot celui de l'échangisme. Cette initiation fera l'objet d'un prochain récit.

Pour l'heure, nous avions été invités aujourd'hui car c'était l'anniversaire de Serge et nous ne pouvions pas ne pas y ass****r malgré la distance qui nous séparait.

Pas mal d'échangistes bien sûr parmi les invités, mais aussi de la famille, des enfants et des amis non-échangistes. Donc, obligation de réserve pour ne choquer personne, cela va de soi.

Après le repas, fort bon d'ailleurs et, comme à l'accoutumée, bien arrosé, Serge avait mis de la musique et les couples de danseurs s'étaient formés. Malgré l'obligation de bonne tenue, quand le couple s'avérait être un couple d'échangistes, nous nous connaissions presque tous pour avoir participé, les uns et les autres, à de précédentes soirées coquines, il était alors très difficile de respecter à la lettre les consignes de discrétion et un œil averti aurait pu déceler des étreintes un peu trop appuyées ou des lèvres vagabondes sur des nuques qui n'attendaient que cela. Sans compter quelques mains voyageuses sur des seins frémissants ou s'insinuant avec malice sous les pans de vêtements par trop vaporeux ou judicieusement échancrés.

Tout cela pour vous dire que ma femme et moi-même étions un tantinet émoustillés et que nous avions hâte de nous retrouver dans l'intimité de notre demeure pour une étreinte libératrice de ces tensions érotiques accumulées.

Malheureusement, la couche douillette et accueillante s'était éloignée avec le TGV raté.

À cette heure déjà avancée de la soirée, la buvette était quasiment déserte. Les banlieusards avaient quitté la capitale pour rejoindre leurs cités-dortoirs où les attendaient gosses et télé, triste quotidien des masses laborieuses.

Là, où nous nous étions installés pour passer le temps, un pilier nous cachait de la salle et nous pouvions presque nous sentir isolés.

J'avais ouvert un journal, acheté au kiosque voisin, et tentais laborieusement de m'intéresser aux dernières nouvelles. Près de moi, sur la banquette de moleskine rouge, Nicole, ma femme, se trémoussait sur place, dansant d'une fesse sur l'autre comme prise de la danse de Saint-Guy, et ne sachant que faire pour occuper cette attente imprévue. Manifestement, elle tentait de m'arracher à la lecture de mon journal en me bisouillant le cou et en laissant courir sa main, de mon genou à l'intérieur de ma cuisse, en un ballet synchronisé. Amusé par son manège, je m'arrachais à ma lecture et jetais un œil dans sa direction.

Elle était légèrement penchée vers moi, pour mieux me caresser et son chemisier sans doute insuffisamment boutonné, baillait ostensiblement dévoilant ses deux seins nus, impudiques en ces lieux, dont les pointes roses dardaient effrontément au milieu de larges aréoles brunes.

Ce spectacle, à la limite de l'indécence, me fit l'effet d'une décharge d'adrénaline et je sentis mon sexe aussitôt gonfler et se tendre dans mon pantalon.

La coquine, pourtant, sur mes recommandations, avait ce matin en s'habillant revêtu un charmant ensemble coordonné string/soutien-gorge en satin saumon que je lui avais offert à son dernier anniversaire. Les consignes entre nous étaient clairement établies. Au quotidien, pas de sous-vêtements, car j'adorais la savoir nue sous ses robes ou tailleurs, mais dès qu'il s'agissait de sorties plus protocolaires, j'appréciais qu'elle porte de jolis dessous sexy.

Nicole, qui avait suivi mon regard et perçu mon étonnement, fit perfidement remonter sa main sur ma cuisse et, profitant de la protection visuelle du journal, la posa sur la bosse qui, maintenant, déformait outrageusement mon pantalon. Ses doigts se refermèrent sur ma hampe turgide et la serrèrent à la limite de la douleur pour la relâcher aussitôt et laisser place à ses ongles acérés qui entreprirent un ballet diabolique, alternant griffures et picotements à travers l'alpaga de mon vêtement.

Focalisant mon attention sur autre chose pour ne pas défaillir sous ses caresses de plus en plus précises, je lui demandai d'une voix rauque :

– « Quand as-tu retiré ton soutien-gorge ? »

– « Tout à l'heure en dansant. » me répondit-elle .

– « Un de mes cavaliers essayait maladroitement de me caresser les seins et semblait avoir des difficultés à passer ses doigts sous le satin de mon bonnet pour atteindre mes tétons, alors, je me suis esquivée aux toilettes pour retirer mon soutien-gorge. À mon retour, nous avons repris la danse et il a pu tout à loisir caresser ma poitrine et titiller mes tétons. C'était divin, j'ai bien failli jouir devant tout le monde. Heureusement, la danse s'est arrêtée à temps. »

Pendant cette confession, je fis glisser ma main le long des ses flancs en une caresse langoureuse qu'elle apprécia aussitôt en ronronnant comme une chatte amoureuse et en activant le rythme de ses propres caresses sur mon sexe maintenant en zone rouge « Danger d'explosion imminente ». Comme ma main atteignait sa hanche, nouveau choc, nouvelle surprise. Je ne sentais pas, sous le fin tissu de sa jupe, l'élastique de son string. Mes doigts se firent plus inquisiteurs et passant dans son dos, à la limite de ses reins, cherchèrent mais ne rencontrèrent rien qui puisse attester de la présence du fameux string saumon.

 

– « Et le string ? » lui demandais-je, « Quand l'as-tu retiré ? »

Avec la plus grande candeur, me fixant de son air mutin de sainte nitouche, elle me dit tout de go :

– « Pendant que nous dansions, pendant la série de slow qui dura presque une demi-heure, un type m'a invité et nous avons dansé. Au deuxième slow, j'ai senti qu'il bandait très fort et qu'il frottait son sexe, qui me paraissait énorme, contre mon ventre. J'étais très excitée car il ne laissait rien paraître. On aurait dit un séminariste tant son attitude était irréprochable, presque distant, mais à chaque pas je sentais son gourdin toujours plus dur, toujours plus gros qui roulait contre mon bas ventre et parfois même, comme il n'était pas très grand, je sentais nettement la tête de se sexe, tentant de se loger à l'entrée de ma grotte. Je suis sûre qu'il ne devait pas porter de slip pour que je le sente si bien à travers le fin tissu de ma robe. Je mouillais comme une folle, mon minou était en feu et ma liqueur d'amour commençait à inonder ma petite culotte.

Au troisième slow, quand les lumières se sont presque complètement éteintes, excepté les quelques bougies qui restaient allumées, je l'ai senti farfouiller entre nos deux corps et j'ai failli m'évanouir de surprise et de honte, de crainte d'être vus. Il venait de libérer un chibre monstrueux, long comme jamais je n'en avais vu de pareil et gros comme mon poignet. Un véritable sexe d'âne ai-je aussitôt pensé. En plus de le sentir battre contre mon ventre, en passant à proximité d'une bougie, j'ai pu l'apercevoir, dressé vers mon estomac, menaçant, tout congestionné et tendu comme un poing levé. Un long frisson me parcourut alors, et je me suis plaquée contre mon cavalier pour masquer, pour cacher cette chose monstrueusement désirable.

Mon cavalier dut prendre ce rapprochement pour une reddition, car tout en continuant de danser, sa main s'est mise à fureter dans les plis de ma jupe, cherchant la fente qui lui donnerait accès à ma chair nue. Il était habile le bougre car, très vite, j'ai senti ses doigts sur la peau nue de mon ventre et qui descendaient plus bas, cherchant à écarter mon string pour accéder à mon intimité.

Très vite il y parvint et je sentis un doigt se poser sur la perle nacrée de mon clitoris et entreprendre de le masser avec beaucoup de douceur et de savoir-faire. J'étais aux anges, ma cyprine coulait sur ses doigts lui témoignant mon extrême excitation et mon abdication à toutes ses exigences. Le doigt inquisiteur quitta mon bouton exacerbé et, délicatement, entreprit d'écarter les lèvres de ma fleur d'amour pour s'enfoncer enfin au plus profond de ma grotte devenue incandescente. Il me manipula ainsi de longues minutes me poussant aux frontières de l'orgasme. Sentant ma fin proche, il retira, à mon grand regret, ce doigt diabolique et, saisissant sa hampe démesurément dressée, il la fit passer entre les pans de ma jupe et la guida entre mes cuisses. Je sentis alors le mufle énorme de sa queue peser à l'entrée de ma chatte de nouveau protégée par le fin satin de mon string. Mais d'un doigt expert, mon inconnu écarta de nouveau le fin rempart et délicatement positionna son gland, gros comme une mandarine entre mes lèvres intimes. Une légère poussée de ses reins vers le haut et déjà, la bête monstrueuse s'insinuait entre mes nymphes délicates et investissait peu à peu mon vagin trempé et avide de cette intrusion sauvage.

Mon tourmenteur, qui avait légèrement fléchi ses jambes pour faciliter l'intromission, se redressa soudain et j'eus l'impression d'être littéralement ouverte en deux. Son sexe monstrueux me remplissait toute et je sentais son mufle cogner contre ma matrice. C'était à la limite de la douleur tellement il était gros et long.

Mais le coquin savait y faire, car reprenant le rythme de la danse, il entreprit de faire naviguer sa virilité dans mes chairs distendues. Entrant et sortant au rythme du slow comme une bielle bien huilée, il me pilonnait savamment, me faisant gravir inexorablement les degrés qui allaient me conduire à l'extase. Je n'étais plus qu'un sexe, honoré par un autre sexe. Plus rien n'existait autour de moi que cet orgasme qui montait, montait du creux de mes reins ou il avait pris naissance pour irradier mon ventre, mon sexe qui, maintenant, de ses muscles intimes, pompait ce dard dévastateur. Ce plaisir qui maintenant envahissait ma poitrine, durcissait mes tétons à l'extrême limite du supportable tant ils étaient devenus sensibles. Ce plaisir qui me coupait le souffle, me nouait la gorge au point d'étouffer mes gémissements et mes râles. Ce plaisir qui enfin explosa dans ma tête en un feu d'artifice titanesque, de milles couleurs vives, à l'instant où je sentis que mon amant se vidait dans mon ventre, éclaboussant mes parois intimes de jets puissants et chauds de sa semence qui n'en finissait plus d'envahir mes chairs.

Anéantie, assommée de plaisir, à la limite de l'évanouissement, je le sentis se retirer, mon string reprendre sa place, et le membre dévastateur reprendre le chemin du pantalon de mon cavalier.

La série de slow s'achevait. La lumière revenait. Mon tourmenteur avait rejoint les autres. Je sentais ma grotte déborder du trop-plein de semence reçue. Alors je partis vite vers les toilettes pour me refaire une petite beauté et retirer ce string maintenant inondé du sperme gluant de ce cavalier si fougueux.

Voila, mon chéri pourquoi je n'ai plus ma petite culotte. »

Il va sans dire que ce récit, cette confession, m'avait mis dans un état indescriptible. Malgré moi, sous le journal, ma main avait accompagné les péripéties de Nicole d'une masturbation énergique et à plusieurs reprises, j'avais failli craquer et, à mon tour, souiller mes sous-vêtements. En attendant, l'heure du train approchant, mon érection étant trop évidente pour me lever et arpenter les quais de la gare, je devais me calmer et retrouver une attitude digne.

C'est alors que Nicole, oubliant déjà son récit sulfureux, m'annonça qu'elle allait faire un petit pipi avant de quitter la buvette.

Soudain saisi d'une pulsion subite, je la suivis trois minutes plus tard et la rejoignis dans les toilettes dont je pris soin de verrouiller la porte. Elle était ressortie du pipi-room et, penchée devant la glace, se refaisait une beauté.

Sans un mot, je vins me placer derrière elle, lui courbai le torse sur le marbre du lavabo et relevai sa jupe jusqu'à la taille, lui rabattant le tissu sur la tête.

Ses petites fesses nues étaient là, offertes, blanche porcelaine sous la lumière crue du néon. Tranquillement, je sortis mon sexe bandé depuis notre arrivée à la buvette et entretenu dans cet état par ses confessions érotiques, et posément le positionnai à l'entrée de sa vulve qui, sans doute, devait encore être lubrifiée des générosités spermatiques de son amant cavalier.

D'une poussée presque violente, irraisonnée, je l'embrochai jusqu'à la garde, mes testicules venant s'écraser contre ses fesses délicates. Mon gland butait à l'entrée de son utérus. Je me mis alors à la labourer à grands coups de boutoir, entrant et sortant de son ventre, de plus en plus vite et de plus en plus sauvagement, comme pour exorciser cette petite jalousie latente qui existe toujours même chez les échangistes aguerris. Cette once de jalousie qui fait que les retrouvailles post bacchanales des Amours Plurielles sont toujours intenses et délicieuses.

Nicole râlait de plaisir, venant à la rencontre de mes coups de bélier comme pour mieux se faire pénétrer et accompagner, participer à mon châtiment de la femme infidèle.

Ses râles se muèrent en hennissements sur-aigus quand elle sentit mon plaisir exploser au fond de son intimité en jets puissants et répètes.

Je me retirai de ce puits d'amour trop accueillant, me rajustai de concert avec Nicole et nous rejoignîmes notre train maintenant en gare, montant dans le dernier wagon, le plus proche, tant nos jambes étaient cotonneuses et grand notre désir de récupérer dans un compartiment que nous espérions vide afin de dorloter notre complicité amoureuse jusqu'à destination.

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