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Histoire du Canada depuis sa découverte jusqu'à nos jours. Tome II

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CHAP. II.-Louisbourg. -1744-1748.

Coalition en Europe contre Marie-Thérèse pour lui ôter l'empire (1740). – Le maréchal de Belle-Isle y fait entrer la France. – L'Angleterre se déclare pour l'impératrice en 1744. – Hostilités en Amérique. – Ombrage que Louisbourg cause aux colonies américaines. – Théâtre de la guerre dans ce continent. – Les deux métropoles, trop engagées en Europe, laissent les colons à leurs propres forces. – Population du Cap-Breton; fortifications et garnison de Louisbourg. – Expédition du commandant Duvivier à Canseau et vers Port-Royal. – Déprédations des corsaires. – Insurrection de la garnison de Louisbourg. – La Nouvelle-Angleterre, sur la proposition de M. Shirley, en profite pour attaquer cette forteresse. – Le Colonel Pepperrell s'embarque avec 4,000 hommes, et va y mettre le siége par terre, tandis que le commodore Warren en bloque le port. – Le commandant français rend la place. – Joie générale dans les colonies anglaises; sensation que fait cette conquête. – La population de Louisbourg est transportée en France. – Projet d'invasion du Canada, qui se prépare à tenir tête à l'orage. – Escadre du duc d'Anville pour reprendre Louisbourg et attaquer les colonies anglaises (1746); elle est dispersée par une tempête. – Une partie atteint Chibouctou (Halifax) avec une épidémie à bord. – Mortalité effrayante parmi les soldats et les matelots. – Mort du duc d'Anville. – M. d'Estournelle, qui lui succède, se perce de son épée. – M. de la Jonquière persiste à attaquer Port-Royal; une nouvelle tempête disperse les débris de la flotte. – Frayeur et armement des colonies américaines. – M. de Ramsay assiège Port-Royal. – Les Canadiens défont le colonel Noble au Grand-Pré, Mines. – Ils retournent dans leur pays. – Les frontières anglaises sont attaquées, les forts Massachusetts et Bridgman surpris et Saratoga brûlé; fuite de la population. – Nouveaux armemens de la France; elle perd les combats navals du Cap-Finistère et de Belle-Isle. – Marine anglaise et française. – Faute du cardinal Fleury d'avoir laissé dépérir la marine en France. – Le comte de la Galissonnière gouverneur du Canada. – Cessation des hostilités; traité d'Aix-la-Chapelle (1748). – Suppression de l'insurrection des Miâmis. – Paix générale.

CHAP. III.-Commission des Frontières. -1748-1755.

La paix d'Aix-la-Chapelle n'est qu'une trêve. – L'Angleterre profite de la ruine de la marine française pour étendre les frontières de ses possessions en Amérique. – M. de la Galissonnière, gouverneur du Canada. – Ses plans pour empêcher les Anglais de s'étendre, adoptés par la cour. – Prétentions de ces derniers. – Droit de découverte et de possession des Français. – Politique de M. de la Galissonnière, la meilleure quant aux limites. – Emigration des Acadiens; part qu'y prend ce gouverneur. – Il ordonne de bâtir ou relever plusieurs forts dans l'Ouest; garnison au Détroit, fondation d'Ogdensburgh (1749). – Le marquis de la Jonquière remplace M. de la Galissonnière. – Projet que ce dernier propose à la cour pour peupler le Canada. – Appréciation de la politique de son prédécesseur par M. de la Jonquière; le ministre lui enjoint de la suivre. – Le chevalier de la Corne et le major Lawrence s'avancent vers l'isthme de l'Acadie et s'y fortifient; forts Beauséjour et Gaspareaux; Lawrence et des Mines. – Lord Albemarle, ambassadeur britannique à Paris, se plaint des empiétemens des Français (1750); réponse de M. de Puyzieulx. – La France se plaint à son tour des hostilités des Anglais sur mer. – Etablissement des Acadiens dans l'île St. – Jean; leur triste situation. – Fondation d'Halifax (1749). – Une commission est nommée pour régler la question des limites: MM. de la Galissonnière et de Silhouette pour la France; MM. Shirley et Mildmay pour la Grande-Bretagne. – Convention préliminaire: tout restera dans le Statu quo jusqu'au jugement définitif. – Conférences à Paris; l'Angleterre réclame toute la rive méridionale du St. – Laurent depuis le golfe jusqu'à Québec; la France maintient que l'Acadie, suivant ses anciennes limites, se borne au territoire qui est à l'est d'une ligne tirée dans la péninsule de l'entrée de la baie de Fondy au cap Canseau. – Notes raisonnées à l'appui de ces prétentions diverses. – Les deux parties ne se cèdent rien. – Affaire de l'Ohio; intrigues des Anglais parmi les naturels de cette contrée, et des Français dans les cinq cantons. – Traitans de la Virginie arrêtés et envoyés en France. – Les deux nations envoyent des troupes sur l'Ohio et s'y fortifient. – Le gouverneur fait défense aux Demoiselles Desauniers de faire la traite du castor au Sault-St. – Louis; difficulté que cela lui suscite avec les Jésuites, qui se plaignent de sa conduite à la cour, de la part qu'il prend, lui et son secrétaire, au commerce, et de son népotisme. – Il dédaigne de se justifier. – Il tombe malade et meurt à Québec en 1752. – Son origine, sa vie, son caractère. – Le marquis Duquesne lui succède. – Affaire de l'Ohio continuée. – Le colonel Washington marche pour attaquer le fort Duquesne. – Mort de Jumonville. – Défaite de Washington par M. de Villiers au fort de la Nécessité (1754). – Plan des Anglais pour l'invasion du Canada; assemblée des gouverneurs coloniaux à Albany. – Le général Braddock est envoyé par la Grande-Bretagne en Amérique avec des troupes. – Le baron Dieskau débarque à Québec avec 4 bataillons (1755). – Négociations des deux cours au sujet de l'Ohio. – Note du duc de Mirepoix du 15 janvier 1755; réponse du cabinet de Londres. – Nouvelles propositions des ministres français; l'Angleterre élève ses demandes. – Prise du Lys et de l'Alcide par l'amiral Boscawen. – La France déclare la guerre à l'Angleterre.

FIN DES SOMMAIRES